La fasciathérapie peut s’avérer bénéfique pour un large éventail de conditions de santé, tant physiques que psychologiques. 

Les indications principales incluent :

  • Douleur : Douleurs chroniques ou aiguës, douleurs musculo-squelettiques, maux de tête/migraines, douleurs cervicales/nuque, sciatique, lumbago, douleurs de l’ATM, douleurs chroniques post-chirurgie.  

  • Problèmes de mobilité : Réduction de l’amplitude des mouvements, raideur, perte de souplesse, problèmes liés à la posture ou aux mouvements répétitifs. 

  • Traumatismes et récupération : Blessures sportives (entorses, tendinites), récupération physique après blessures, convalescence post-chirurgicale. 

  • Stress et bien-être : Gestion du stress, anxiété, fatigue chronique, sommeil non réparateur, déséquilibre corps-esprit.   
  • Conditions spécifiques : Syndrome du canal carpien, épaule gelée, syndrome des loges, Osgood-Schlatter, syndrome de la bandelette ilio-tibiale, contracture de Dupuytren, doigt à gâchette. Problèmes respiratoires (bronchites, asthme, emphysème), troubles digestifs (ballonnements, inconfort).  
  • Pédiatrie : Problèmes liés à un accouchement difficile (plagiocéphalie, troubles intestinaux), douleurs de croissance, scoliose.   

Il est important de rappeler que la fasciathérapie est une approche complémentaire et ne vise pas à remplacer un traitement médical. La réitération constante que la fasciathérapie est une « approche complémentaire » et qu’elle « ne vise pas à remplacer un traitement médical » est un message critique et répété qui définit son utilisation appropriée. Cette emphase répétée sert de garantie cruciale, tant pour les praticiens (pour éviter les problèmes légaux/éthiques) que pour les patients (pour s’assurer qu’ils recherchent des soins médicaux conventionnels appropriés pour les affections graves). Cela implique que, bien que la fasciathérapie offre des avantages, elle opère dans un cadre défini et n’est pas présentée comme une alternative aux soins médicaux primaires. Cela place également une responsabilité sur le patient de comprendre cette distinction et d’intégrer la fasciathérapie de manière réfléchie dans sa stratégie de santé globale, idéalement en consultation avec son médecin traitant


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