Bien que la fasciathérapie soit généralement considérée comme une pratique sûre et douce lorsqu’elle est réalisée par des professionnels qualifiés , il existe des contre-indications absolues où elle doit être évitée pour prévenir toute aggravation ou retard de guérison.  

Ces conditions incluent :

  • La thrombose  

  • La phlébite   

  • La fièvre   

  • Les infections actives    

  • Les plaies ouvertes    

  • Les plaies infectées   

  • Les plaies récemment suturées   

  • Les fractures récentes   

  • Les maladies inflammatoires graves   

  • Les brûlures  

La liste claire et cohérente des contre-indications absolues à travers plusieurs sources souligne un engagement envers la sécurité du patient et le principe de « primum non nocere » (d’abord ne pas nuire), même dans une thérapie non conventionnelle. Cela démontre une approche responsable de la part des praticiens et des organismes de formation, reconnaissant les limites et les risques potentiels, en particulier dans les conditions médicales aiguës où la manipulation pourrait être préjudiciable. Cela met également en évidence l’importance d’un processus d’admission approfondi du client pour identifier ces conditions, garantissant que même les thérapeutes complémentaires opèrent dans les limites éthiques et privilégient le bien-être du patient avant tout bénéfice potentiel. Cette auto-régulation des contre-indications ajoute une couche de crédibilité aux affirmations de sécurité de la pratique.


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