La Fasciathérapie pour les Troubles Musculo-Squelettiques et Posturaux

La fasciathérapie démontre une grande efficacité pour les problèmes musculo-squelettiques et les affections découlant de problèmes posturaux ou de mouvements répétitifs. Elle contribue également à l’amélioration de la posture générale.

Cette approche peut cibler un large éventail de conditions spécifiques, notamment : le syndrome du canal carpien (picotements, fourmillements, engourdissements des doigts), le syndrome des loges (pression accrue autour de certains muscles), le syndrome d’Osgood-Schlatter (inflammation douloureuse du tibia), l’épaule gelée, le syndrome de la bandelette ilio-tibiale, le syndrome fémoro-patellaire (douleur antérieure du genou), le syndrome de De Quervain (douleur au poignet), la contracture de Dupuytren (flexion progressive des doigts) et le doigt à gâchette (inflammation du tendon de la main). Elle est également indiquée pour les douleurs cervicales et de la nuque, la sciatique, la cruralgie, le lumbago , ainsi que les douleurs à l’articulation temporo-mandibulaire (ATM). De plus, elle est bénéfique pour les tendinites et les entorses. La thérapie agit en ciblant le dysfonctionnement fascial sous-jacent et en travaillant à réduire la douleur et à faciliter la récupération après un traumatisme en restaurant la flexibilité des fascias. La liste exhaustive de syndromes musculo-squelettiques spécifiques et souvent complexes (par exemple, le canal carpien, l’épaule gelée, le syndrome d’Osgood-Schlatter, la bandelette ilio-tibiale, la maladie de Dupuytren) que la fasciathérapie aborde indique que le dysfonctionnement fascial est considéré comme une composante significative, et parfois négligée, dans l’étiologie de ces affections. Ce niveau de spécificité implique que les praticiens considèrent les restrictions fasciales comme un facteur primaire ou contributif aux symptômes de ces syndromes. Cela suggère que, bien que ces conditions puissent avoir diverses étiquettes diagnostiques, elles partagent souvent une composante fasciale sous-jacente commune que la fasciathérapie est particulièrement bien placée pour traiter. Cela élargit la portée perçue de la fasciathérapie au-delà des douleurs générales pour inclure des états pathologiques plus définis.